2017 - CENTENAIRE DE LA REVOLUTION COMMUNISTE ROUGE SANG

Ouf ! Le monde a évolué, pas de  fête pour ce centenaire sanguinaire.

1917 a été le chaos de la nation Russe par le socialo-communiste bolcheviques qui impose la pensée unique / Assassinats de masses  / Violence sur les peuples / Création de goulags / Privation de libertés   / Confiscations de la propriété privée / Mise en place de la dictature / La famine. C’est l’assassinat de 35 millions de personnes par les communistes en Russie entre 1917 et 1930 puis + de 35 millions par Staline en suivant, qui met les extrémistes du peuple élu hors-jeux de la doctrine qu'ils ont créé.

Grigori Zinoviev dans son journal « la Gazette communiste » écrivait :« Nous rendrons nos cœur cruels, durs, impitoyables, afin que la clémence n'y pénètre pas et qu'ils ne frémissent pas devant un océan de sang ennemi. Nous lâcherons les écluses de cette marée sanglante. Sans pitié, sans merci, nous tuerons nos ennemis par milliers. Nous les noierons dans leur propre sang ». Le tsar était haï des communistes parce qu’il s’efforçait de protéger les paysans nourriciers de la nation Russe, ils l’exécutent le 17 juillet 1918 avec sa femme et ses enfants.

Le communisme était destiné à s’étendre au monde entier par l’international communiste. C’est l’orgueil du "peuple élu" voulant imposer leur système de pensée. Dramatique et horrible révolution menée par une minorité extrémiste qui l’avait planifiée. Une révolution rageuse et vengeresse manipulant les couches les plus basses et les plus ignorantes.  Le banquier  Jacob Schiff de New York et d’autres donna l’argent nécessaire à la révolution Une collecte planétaire fut organisée et l’argent placé dans la City à Londres pour servir le communisme car l’argent n’a pas d’odeur sauf pour moi elle a la puanteur du communisme. Le gouvernement de Lénine et Trosky a dépensé une fortune en dehors de Russie en particulier en Pologne pour « bolcheviser ». Le système communiste sous les Lénine et Trosky engendra la chute de l’économie, la famine, la terreur , les supplices, le peuple russe réduit à la paralysie et à la folie. La population des campagnes vit sur ce qu’elle réussit à trouver sur son sol, condamné même à manger de l’herbe, quand il y en avait encore.Chaque jour, ce gouvernement fabriquait pour 300 millions de roubles, qui avaient pour seule valeur celle du poids du papier !

Le seul soviet de Smolensk pour le communisme fusilla en 4 mois plus de quatre cents  bourgeois et intellectuels dont 62 victimes étaient des enfants. On les force à creuser leurs tombes aux non communistes la mitrailleuse les fauche, on jette des grenades par-dessus pour les déchiqueter.

Le régime communiste des bolcheviques commence ainsi pour aboutir jusqu’à la mort de Staline en 1952 à  + de  70 millions de morts.
Ainsi le nouveau Tsar s’appela Trosky (Braunstein), et son associé "Vladimir Illich" dit Lénine, rappeler vous la chanson de Sardou d’octobre 1983, depuis des années moi et ma famille dénoncions le drame des peuples des pays de l’est ou j’allais l’été avec mes parents pour des raisons historiques, nous avons participés activement à faire connaître le syndicat polonais « Solidarnosc » en France en dénonçant le mal communiste qui faisait état de sainteté pour la gauche française. Sous Trosky et Lénine à Moscou il ne resta qu’une seule banque : la Banque du Peuple et de la République Fédérale Russe des Soviets. C’est bien connu la rentabilité sur le malheur des autres. Les dépositaires de bijoux et d'autres valeurs peuvent obtenir des avances par l'intermédiaire des commissaires du Peuple. Les commissaires du peuple donnent  le chèque émis en roubles (papier) en prélevant + de 50 % de commission. Les commissaires du Peuple on le monopole dans la police,  sont les courtiers qui ont le monopole de tout trafiquer. Ils font des fortunes. Ce sont les commissaires du peuple qui vendent seuls avec d’énormes bénéfices les denrées nécessaires : pain, sucre,  beurre, pommes de terre,  tabac, tissus, oie, dinde... Les tarif prohibitifs contraingnent le peuple à manger l’herbe et bien pire.

En novembre 1919 le Patriarche de Moscou et de toutes les Russie a put lancer un appel au monde que les évêques, prêtres, nonnes et moines sont fusillés en masse, sous la vague accusation de contre-révolutionnaire. La suprême consolation des Sacrements leur est refusée par un raffinement de cruauté et leurs parents ne peuvent obtenir pour les cadavres une sépulture chrétienne.

Trosky et Lénine sont plus cruels qu’Ivan le Terrible.

Lénine et Trotsky font tuer sans merci, non seulement les bourgeois mais les socialistes révolutionnaires récalcitrants. Pour le plus léger signe de mécontentement, pour la simple tiédeur, la mort et pour ceux qui passent à l’ennemi leurs familles sont fusillées. Les commissaires du peuple s’enrichissent outrageusement et la classe ouvrière qui ne sert pas dans l’armée Rouge meurt de faim.
Les grèves sont interdites bien sûr.

Encore aujourd'hui des politiciens tel que Jc Cambadélis, JM le Guen, J.Dray, Benoit Hamon, Gérard Filoche, Michel Sapin, Marc Blondel, Lionel Jospin, JL Mélanchon,  et bien d'autres fous pronnent ces idéees destructices Troskystes bolchéviques,"comment c'est possible", des francais votent pour eux. Demain nous risquons de nous trouver avec un parti nazi et Daesch. Méditez !

Le 3 décembre 1919.
Quand les bolcheviques prirent la ville d’Odessa tous les blessés furent égorgés, une masse de prisonniers furent noyés quinze jours plus tard une tempête sur la mer Noire rejetait leurs cadavres sur le rivage. Le général Chormichoff disons de l’armée blanche enchaîné sur une planche, fut poussé centimètre par centimètre dans une fournaise et rôti vivant. D’autres furent écartelés et déchirés au cabestan. D’autres ébouillantés, puis placés sous les ventilateurs.
Les hurlements des centaines de captifs qu’on torturait dans la prison épouvantaient toute la région. Les bolchevique abattaient à coups de fusil par jeux. Les hommes et les femmes qui avaient quelque chose de  bourgeois dans l’apparence étaient chassés tout nus dans les rues. Les femmes et les jeunes filles propres furent emmenées au port, dans les chantiers et on les retrouvait mortes, mourantes ou folles. Toute la nuit on entendait leurs cris d’agonie
Pour 400 sujets anglais échappés du « paradis communiste » qui sont arrivés à Southampton le 17 avril 1920 avec  un envoyé  spécial du Sunday Times leurs témoignages furent effarants.
« Nous sortons de l’enfer, le communisme est la plus effroyable chose que le monde ait jamais vue. S’il dure, il n’y aura bientôt plus de vivants en Russie. La monnaie papier se fabrique en continu, les hommes se fusillent sans arrêt par milliers,  la terreur règne partout. Les ouvriers qui se plaignent de leur condition de vie et du joug des commissaires du peuple. A Moscou le plus frugal repas coûte une fortune. La Princesse Turnoff, dont le mari appartenait à l’armée Blanche, a été emprisonnée par les Rouges, violée, mutilée, déchirée en morceaux. Les chiens traînent partout des débris humains dans la neige. Les cadavres qu’on retrouve ont été torturés, grillés, déchiquetés, des clous enfoncés sous les ongles, les étoiles des officiers clouées sur leurs épaules, des corps découpés dans la longueur des jambes des bras sont échoués dans les rues. Les femmes communistes  ne sont pas en reste, certaines égorgèrent de leurs mains des centaines d’hommes. Sous Trotski et Lénine, et plus tard Staline le pillage de la Russie alla bon train pour continuer à fabriquer la propagande révolutionnaire bien acceptée par la gauche française.

L’armée rouge  ne fut qu’une bande de brigands, de truands, de nomades en marche pour le pillage.  Les camarades commissaires se pavanaient en tunique bleu gris noire, la même que Mélenchon pour la campagne présidentielle française de 2017 ce qui est pour moi aussi pire que l’uniforme nazi, "mais quel salaud ce type". L’armée rouge se pavanait des employés de cirque et tout le reste de la horde est affublé de guenilles pittoresques : culottes, blouses, vestes de toutes formes et de toutes couleurs ainsi que de vieux uniformes des anciens corps, casquettes, chapeaux, shakos, turbans. Les chefs militaires sont assistés d’un comité révolutionnaire civil, en partie délégué à Moscou, en partie recruté parmi la plus basse catégorie. L'occupation des villes commence par l'exécution des propriétaires et par des perquisitions qui sont le prétexte d'un pillage général. Les journaux sont supprimés, et leur papier confisqué pour l'usage de l'organe bolcheviste, seul maintenu. De Moscou viennent des orateurs  pour arranger la population. Le prosélytisme et la propagande étaient au sommet de son pouvoir et pour supprimer toute opposition le gouvernement des Soviets a décrété le régime de la terreur. Dans chaque ville  une commission est créé pour combattre la contre-révolution elle a le droit d'arrêter et de châtier n'importe qui et la seule peine appliquée est la mort. Les membres de ces commissions sont presque tous des criminels de droit commun. Leur pouvoir est sans limite, même sur les membres des soviets, dont beaucoup ont été exécutés sans jugement. Aucun être humain n'est à l’abri. Très peu des personnes arrêtées sont relâchées, le meurtre est toujours précédé de torture. On arrache la peau des prisonniers, on leur enfonce des clous sous les ongles, on leur coupe la langue, on coupe les seins aux femmes. Il est décrit que des prisonniers étaient enfermés dans la cale des navires. Les bourreaux venaient chercher leur ration de chair à coups de sabre et à coups de fouet, Ils choisissaient dans le troupeau humain affolé d'épouvante, ou bien on les égorgeait sur la rive. Le chef des assassins était un Trotsky, qui était parent de Trotsky Braunstein. Il invitait ses amis au spectacle de l’abattoir du haut de son balcon. Le goût sadique de la souffrance, du sang, et de l'ordure, sont les caractéristiques de l’action communiste bolchevique dont des candidats à l’élection présidentielle française de 2017 de proclament les héritiers, pauvres fou ce Mélenchon et les autres. Tous les régimes communistes ont fini dans un fiasco mais les records d'horreur ont été pulvérisés par les Khmer Rouges avec Pol Pot qui a  fait massacrer un quart de la population totale du Cambodge pour  le bonheur de son peuple. Le Bolchevisme a été machiné de longue main par la finance  internationale et par  une alliance universelle dans le double but de se venger sur la famille régnante de Russie et sur le peuple russe,  de mettre la main sur les immenses richesses de la Russie, sol et sous-sol, terres, forêts, mines, trésors accumulés au cours des siècles. On a la même chose avec l’impérialisme américain sur le pétrole du Moyen-Orient et autres richesses minières. 

Conclusion 1917 est une période de guerre, de jalousie des richesses de l’autre, et de pouvoir. Mais le plus fantastique, c’est que les communistes bolcheviques voulant combattre l’argent des capitalistes s’en sont mis plein les poches sur le dos du peuple, ou plutôt des pauvres russes envoyés dans les goulags au travail forcé. Les bolcheviques avaient l’audace ou l’ironie cruelle de rebaptiser les anciennes banques du régime tsariste : banque du peuple, Grotesque, on ne fait pas mieux que ces bolchevique pendant que le peuple crève, les dirigeants et autres fonctionnaires des Soviets font des fêtes fastueuses au champagne.  Le prolétariat bâtit sur l’industrie des usines églises construites et dirigés par des capitalistes et banquiers.  Enfin il faut croire que se « rouler dans la finance » doit procurer une certaine excitation tout comme déféquer peut procurer un orgasme.

                      LE COMMUNISME C’EST  LE CAPITALISME À L’EXTREME

Les crimes politiques des États socialistes sont en  lien direct avec les écrits de Karl Marx. Le Marxisme dégénere systématiquement en un système violent et oppressif. L’histoire se renouvelle, ces mêmes idées sont celles de Mélenchon et ses amis, Il  va jusqu'à s’habiller avec la veste bolchevique, c’est abominable, mais quel con ! (Le mot con fait parti de son vocabulaire, son intelligence est faible bien que les médias vous font croire le contraire),  je ne citerai pas tout ces salauds de français qui écrivaient à la gloire des bolcheviques ainsi que mes professeurs débiles d’extrême gauche à Langon dont je ne citerai finalement pas leurs noms. Je suis un démocrate avec comme volonté la liberté et la paix entre les peuples je n’accepte pas l’extrémisme assassin qu’il soit politique ou religieux à l’image du communisme. Je ne condamne aucune religion ni Chrétienne, ni Juive, ni Bouddhiste, ni Musulmane pourvu qu’elle œuvre pour la paix et le bien vivre et la bonne entente entre des populations. J’apprécie Simone Veil avec une carrière et ces idées exemplaires comme j’apprécie de nombreux juifs démocrates mais sa compagne de cellule à Auschwitz  Maceline "la rouquine communiste" revendicatrice quelle se taise bien que je comprenne ces souffrances de déportées puisque ma mère "Helene stankiewicz / Prieto fut déportée par les communistes à l'age de 13 ans puis par les nazis consécutivement dans plusieurs camps des plus durs.

Je fini sur la citation de Gandhi : Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent".

Alain Prieto 

Extrait des écrits de Alexandre Soljenitsyne

Vous devez comprendre que les dirigeants bolcheviques qui ont conquis la Russie n’étaient pas des russes. Ils haïssaient les russes. Ils haïssaient les chrétiens.

Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de russes sans l’ombre d’un remord.  On ne peut pas le souligner assez.

Le bolchevisme a commis les plus grands massacres de tous les temps. Le fait que la plupart du monde soit ignorant et insensible à ce crime monstrueux est la preuve que les médias mondiaux sont aux mains des auteurs de ce crime.

Alexandre Soljenitsyne