Contre l'oubli pour des gens responsables de rien
Il y a des sujets Historiques qui soit disant ne doivent pas être abordés.
Le sujet de l’Holocauste en fait partie. La loi Fabius/Gayssot en effet punit d’emprisonnement toute personne qui contredit l’Holocauste des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Une loi qui empêche toute remise en cause de la version officielle !! Avoir un cerveau et se poser des questions est devenu criminel… Dans les médias, vous remarquerez comment tout porte à confusion. Moi j’ai ma version, celle de mes parents et de nos amis juifs et non Juifs.
Dans mon enfance, je passais des vacances d’été en Pologne et circulais dans les pays de l’Est de l’ère communiste dans les années 70, que certains français osaient nommer le "paradis soviétique" avec leur porte parole Georges Marchais. Je n’avais aucune opinion politique mais je voyais qu' au moins 30 % des Français ne comprenaient rien ou étaient manipulés et trompés. J’ai visité Auschwitz plusieurs fois en me posant la même question: comment cela a été possible ?
Les témoignages de mes parents sur les horreurs perpétrées par les nazis sont ahurissants. Ma mère Hélène, d’origine polonaise, victime de déportations successives dès l’âge de 13 ans d'abord par les communistes russes puis par les nazis. Elle a commencé à vraiment parler du sujet que vers 80 ans. Son instinct de survie a fait qu’elle fut rescapée de l’horreur des camps Maidanek, Treblinka... Sur 5 700 000 morts dans les camps nazis, 3 000 000 étaient polonais ne l’oublions pas et tous n’étaient pas juifs. Juifs, pas juifs quelle importance ! des êtres humains tout simplement !
Mon père Antoine (décédé), partit combattre les Allemands avec les bataillons d’Afrique du nord composés de pieds noirs, algériens, marocains, tunisiens. Il est fait prisonnier par les allemands, incarcéré dans plusieurs camps de concentrations après plusieurs tentatives d’évasions puis fut libéré par les Russes mais par peur des rouges rejoignit les Américains non loin de lui..
.Nb : A la défaite de juin 1940 les Allemands font 1 800 000 prisonniers Français parmi lesquels 60 000 combattants d’Afrique du Nord et des colonies dont le sort va se révéler dramatique par l'esprit raciste des nazis.
Le peuple polonais (juif et non-juif) a été victime d’une cruauté inégalée par les nazis.
Le génocide concerne ceux que l’idéologie nazie désigne comme « sous-hommes », et dont les juifs sont, selon cette idéologie, les principaux représentants. Mais, outre les détenus politiques opposants aux nazis liberaux, démocrates, franc-maçons, d’autres groupes sont visés et seront, à différents degrés, persécutés : Tziganes, Slaves (considérés comme un peuple d’esclaves, une sous race), homosexuels, malades mentaux, noirs, Témoins de Jéhovah...Les 1er déportés furent Allemands.
Les SS agissaient avec la plus grande brutalité, à grand renfort de hurlements, de menaces et de coups, n'hésitant pas à tirer et à tuer des gens effarés et désespérés. A leur arrivée, éprouvés par cinq ou six jours de voyage dans des wagons plombés, leurs chiens étaient dressés à la tuerie.
Le grand business avec les camps d’extermination par le travail se met en place jusqu'à l’exploitation industrielle des cadavres des déportés dont tout était récupéré une fois mort ; Dents en or, dentiers, lunettes, les os broyés et transformés en engrais...
Extermination par le travail forcé dans les usines où un grand nombre d’entreprises sont présentes telles que BMW, Daimler (Mercedes) Krupp, IG Farben, Porche, Siemens, Thyssen, Bayer, Volkswagen, employant de la main d’œuvre puisée parmi les déportés. Elles possédaient des usines au sein même d’Auschwitz, Oswiecim en polonais, Oshpitizin en yiddish. Il y avait aussi des firmes américaines engagées dans cette activité macabre: ITT, Ford, General motors, IBM, Dupont de Nemour, General electric...
Birkenau constituait le camp central d'une trentaine d'autres camps de la Silésie et de la Pologne et fournissait de la main-d'œuvre à ces camps pour alimenter en hommes les mines de charbon (Janina, Jaworzno, Jawoscowice, etc.) et les usines de guerre (Gleiwitz, DAW, Siemens, Buna, etc). En échange, Birkenau recevait les inaptes au travail de tous ces camps et se chargeait de les "faire disparaître à tout jamais".
Le souvenir de ma mère, de mon père est cette double clôture de fil de fer barbelé chargé à haute tension, les miradors, des pintades entre les barbelés pour surveiller et servir de garde manger.
Les camps étaient souvent regroupés par ethnies (les femmes étaient séparées). Tchèques, Tziganes, Polonais et Russes, Français, Hongrois…Les dortoirs n’avaient pas d’éclairage, ils ressemblaient à des écuries avec des lits superposés contenant quelquefois des paillasses remplies de copeaux de bois et des couvertures. Tout le monde se levait à 4 heures et demi du matin et quittait le camp à 6 heures pour rejoindre leur lieu de travail. Ils travaillaient jusqu'à 16 heures environ. Le retour au camp était suivi d'un interminable appel même sous la pluie, la neige, le gel. Les repas composés de café, pain pour la journée, marmelade, betteraves, moins souvent saucisson et fromage. Le travail physique exténuant, les accidents de travail fréquents, les brutalités des surveillants, la nourriture insuffisante, le misérable état des vêtements et des chaussures, les poux entraînaient une mortalité et une morbidité effroyables.
Et tout cela était calculé et voulu. Ce n'était pas de la mauvaise organisation, négligence, non : tout le système était fait pour tuer lentement ceux qui n’étaient pas mort dès leur arrivée en passant dans les chambres à gaz pour les désinfecter. Si quelqu'un n'était plus apte au travail, on l'envoyait où s'entassaient tous les malades et une fois assez nombreux ils étaient exterminés fusillés puis brulés.
A la libération les 1ères destructions par l’aviation Américaine ont été les usines d’origine Américaines sur les territoires Allemands. A la libération on trouva de nombreux prisonniers morts car ils n'étaient plus alimentés puisque les alliés avait coupé les sources d’approvisionnement en nourriture des nazis, les survivants maigres se nourrissant de rats ou pire. A la libération des charniers humains on été fait immédiatement par les alliés pour éviter les contaminations; ce sont souvent ces images qui passent depuis + de 60 ans à la télévision.
Les nazis furent nombreux à pouvoir fuir l'Allemagne et l'Autriche pour s'exiler en Amérique du Sud et dans les pays arabes du Moyen-Orient sous des noms d'emprunt, ces nazis abusèrent souvent des organisations caritatives et complicités en échange de leur savoir sur tous les plans.
Malgré son vécu, je ne trouve pas trace de haine de ma mère à l'égard des Allemands ni désir de vengeance, c'est pourquoi je n'ai jamais, pour ma part, cultivé la haine comme désir primaire.
ATTENTION !
Comment une nation aussi cultivée que la nation allemande a pu tomber dans des pratiques inconcevables. Sur fond de crise économique empirant, les partis démocratiques ne surent redonner espoir à la population. Les seuls qui avaient des réponses en mesure de satisfaire les millions de chômeurs et de mécontents étaient les nazis ; Hitler s'empara donc du pouvoir sans difficulté.
Après ces atrocités du XXe siècle, et dans notre société d’aujourd’hui, la technologie, télévision, cinéma, informatiques, jeux vidéo ( jeux GTA) sont utilisés pour véhiculer la haine.
Aujourd’hui encore les programmes des partis démocratiques peinent à attirer les jeunes électeurs.
Les idéologies principalement d'extrême gauche mais aussi d'extrême droite les séduisent trop aisément.
"Camps" communistes et nazis même politique
C'est à Solovki le 26 mai 1920 que le Comité exécutif communiste russe décidait d’inventer le premier camp de concentration de l'humanité, qui allait servir de prototype au Goulag et aux camps nazis. L’URSS de Staline a dans les années 1930 multiplié les camps de concentration sous l’organisation du Goulag (Organisation de travail forcé). Ces camps étaient acceptés par le parti communiste francais qui communiait en accord devant les horreurs de staline
Quelle honte !
A l’identique, les 1er camps nazis furent crées dès 1933 à l’arrivée d’Hitler au pouvoir pour enfermer les opposants au régime nazi. Dachau était un des premiers un camp nazi où à été incarcéré mon père Antoine. Le 23 aout 1939 le pacte germano-soviétique de « non agression » est signé. Ce n’est que le Rapprochement de dictatures socialistes entre 2 amis Hitler et Staline. Ces 2 salopards H et S se déchireront par la suite, chacun se sentant capable à lui seul de dominer le monde.
Communistes et gens d’extrême gauche français n’avez-vous pas honte de votre propagande ! "Front de gauche", "L'union communiste", "LCR, NPA, AL, et autres, vous êtes les représentants de cette ignioble catastrophe engendrée par vos idées.
Explications du pacte
Les termes méritent d'en être rappelés : «Les hautes parties contractantes s'engagent à s'abstenir de tout acte de violence, de toute agression, de toute attaque l'une contre l'autre, soit individuellement, soit conjointement avec d'autres puissances».
Le pacte inclut une aide économique de l'URSS à l'Allemagne avec d'importantes livraisons de blé, pétrole et matières premières. Celles-ci se poursuivront jusqu'à la rupture du pacte deux ans plus tard.
Une clause secrète prévoit le partage de la Pologne en zones d'influence allemande et soviétique, ainsi que la livraison à l'Allemagne nazie des opposants allemands réfugiés en URSS.
FIDEL CASTRO EXAMINONS L'HISTOIRE DE CE SALAUD
" En janvier 2003, Castro est poursuivi pour crime de guerre et crimes contre l’humanité.
Fidel Castro ne s’est pas contenté de torturer, terroriser, et exécuter ses opposants, il rechercha aussi à en tirer une vente. Le 27 mai 1966, 3,5 litres de sang par personne furent médicalement ponctionnés sur 166 civils et militaires cubains par décision de Fidel Castro, et vendus au Vietnam communiste au prix de 100 dollars le litre. Après la prise de sang, les 166 condamnés, en état d’anémie cérébrale, paralysés et inconscients, furent emmenés sur des brancards et exécutés.
Les crimes de Castro depuis mai 1952, a, jusqu’à ce jour on réussit à être identifiés avec précision 100 000 des victimes de Castro à titre personnel à l’équivalent de son camarade Le CHE le tueur sanguinaire. Le coût de la révolution cubaine près de 78 000 innocents ont été tués par le dictateur et ses sbires.
C’est beau le communisme !!
L’assassinat d’environ 97 000 personnes par le régime de Castro. 30 000 exécutées par les pelotons d’exécutions, 2 000 lors d’assassinats extrajudiciaires, 5 000 en prison, battus ou torturés par les gardiens ou refus de soins médicaux, et 60 000 qui ont tenté d’échapper à l’enfer cubain par la mer.
Dans les « vrais chiffres des archives de Cuba », du 1er janvier 1959 au 25 mars 2005, le nombre des victimes non combattantes de Castro se monte à 87 073 morts.
* paru en 2002, écrit à la page 415 : « Depuis que Fidel Castro a pris le contrôle de l’île en 1959, les estimations les plus crédibles disent que 30 000 à 40 000 personnes ont été exécutées par des pelotons d’exécution (paredones de fusilamiento) ou dans les geôles cubaines. »… « A ce nombre, encore 30 000 à 40 000 Cubains ont péri en essayant de fuir le régime, principalement dans les eaux du détroit de Floride. »… « Mais on ne compte pas les milliers qui ont perdu la vie des suites indirectes de la politique collectiviste de Fidel Castro, à savoir les indicibles privations, la malnutrition, et plus généralement la désolation générale sur l’ile. »
A ces massacres d’innocents, il faut ajouter les 5 300 personnes qui ont trouvé la mort en combattant le régime dans les montagnes Escambray (principalement des fermiers et leurs enfants) et la baie des Cochons.
Et environ 14 000 Cubains furent exécutés à l’étranger, notamment par les 50 000 soldats qu’il a envoyés en Angola dans les années 1980 pour aider le régime soutenu par l’URSS dans son combat contre Unita.
« La méthodologie de Castro, explique Archive Cuba, était très semblable à celle utilisée en Pologne et en Allemagne de l’est, moins mortelle que les purges de Staline, mais tout aussi efficaces pour éliminer les opposants. »
Dès les tout premiers jours de la révolution, Castro ordonna des exécutions sommaires dans le but — très vite atteint — d’établir une culture de la peur (comme dans tous les régimes communistes) qui élimina rapidement toute résistance. Puis, dans les décennies suivantes, il s’assura de la soumission du peuple (par la peur) cubain en prolongeant l’état de terreur. Emprisonnements dans des conditions inhumaines qui débouchaient presque toujours sur la mort, torture systématique et d’une cruauté extrême, et privations.
Archiva Cuba a également documenté que 5 600 Cubains ont été exécutés devant des pelotons d’exécution, et environ 1 200 lors « d’exécutions extrajudiciaires ».
Le criminel Che Guevara, sanguinaire acolyte, fut l’un des bourreaux qui exécuta certains de ces crimes.
En 1959, à La Cabaña Fortress, au moins 151 personnes innocentes furent alignées et assassinées par lui-même le CHE
Parmi les 94 enfants dont on a pu documenter la mort sous les ordres du Che, 22 ont été exécutés par ses escadrons et 32 lors d’exécutions extrajudiciaires.
En 1981, un jeune de 15 ans, Owen Delgado Temprana, fut battu à mort sur ordre de Fidel Castro pour donner l’exemple, quand ses agents pénétrèrent de force dans l’Ambassade d’Equateur où sa famille s’était réfugiée.
En 1995, Flores Diaz, 17 ans, trouva la mort dans une cellule punitive d’une prison de la Havane où il lui fut refusé tout traitement médical. On la retrouva morte dans une mare de vomi et de sang.
A ce jour, Archivo Cuba a ainsi réussi à documenter 2 200 morts en prison, principalement des prisonniers politiques.
En 1971, trois enfants et leur mère qui tentaient de fuir Cuba ont été noyés lorsque leur embarcation a été intentionnellement heurtée par un vaisseau de l’armée cubaine.
En 1994, les garde-côtes cubains ont coulé un bateau de Cubains qui tentaient de rejoindre l’Amérique. A bord, 12 enfants âgés de 6 mois à 11 ans furent noyés parmi les 45 passagers.
En 1980, un bateau d’excursion qui fuyait vers la Floride avec 52 Cubains à bord fut coulé par l’aviation cubaine dans la rivière Canimar. A bord, il y avait 4 enfants.
Selon les sources, entre 16 000 et 75 000 « balseros », c’est le surnom donné aux Cubains qui fuyaient l’enfer communiste dans des embarcations de fortune — ont été tués en mer par le régime Castro.
Associated Press rapporte qu’en 2015, le nombre de Cubains qui ont tenté de fuir Cuba et ont été interceptés par les autorités maritimes américaines était de 3 000, le double de l’année précédente.
AP cite Dairon Morera, un de ces rescapés : « le plus grand rêve d’un Cubain, c’est de partir ».
Le livre noir du communisme de Stéphane Courtois estime à 100 millions le nombre de personnes tuées pour imposer cette folie contraire à la nature humaine appelée communisme.
Paul Kengor estime que le livre de Courtois est largement en dessous de la réalité. Courtois évalue à 20 millions les crimes de Staline, mais Alexandre Yakovlev, le collaborateur du réformateur Gorbatchev cité par Kengor, place la barre entre 60 et 70 millions.
Le communisme est avec le nazisme les 2 plus grands fléaux politiques sortis du cerveau humain. Fidel Castro était une des courroies de cette entreprise du crime dont le procès, contrairement au nazisme, n’a jamais été fait.
La gauche et les soi-disant défenseurs des droits de l’homme posent tous un regard très tendre sur le criminel Castro. C’était un monstre.
Aucune enquête officielle contre le régime castriste n’ayant jamais été engagée par l’ONU, il n’est pas possible de savoir exactement à combien s’élèvent les crimes du dictateur Fidel Castro. Les médias se contentent de ne jamais les aborder afin de rendre romantique l’idéologie communiste. Leur espoir un jour de l’imposer à l’Occident ayant échoué.
Fidel Castro est mort, la mort d’un salaud est toujours une bonne nouvelle
Le secret bien gardé du massacre de Katyn en Pologne
Un demi-siècle de complicité occidentale ont désigné les nazis comme coupables, alors que c’était les communistes qui ont été d’une cruauté d’extermination terrible envers 22000 officiers polonais.
Mais depuis l’ouverture des archives de Moscou et du ministère français des Affaires étrangères ces documents donnent la vérité sur ce carnage communiste qui m’a valu dans ma scolarité bien des problèmes. Je divulguais juste la vérité sur cette histoire expliquée par mon oncle Felix officier dans l’armée polonaise à ce moment-là.
Le plus grand nombre d’officiers ont été fait prisonniers par l’armée allemande; dans le pacte d’alliance leur livraison était obligatoire à l’armée russe. Mon oncle s’est échappé du convoi pendant sa livraison aux communistes et à survécu caché dans les forêts de l’est, une fois livré les officiers polonais ont été abattus comme des chiens par l’armée communiste. Les victimes étaient déposées vivantes dans les fosses, pieds et mains liés puis tués pour éviter trop d’effort de transport pour les fossoyeurs communistes. C’est le meurtre de sang-froid au printemps 1940 de plus de 22 000 officiers polonais dont les corps ont été trouvés enterrés dans le bois de Katyn et dans les charniers de Miednoyé et de Dergatché. Longtemps nié par le Kremlin qui affirmait que ce massacre était l’œuvre des allemands, ce crime a été enfin reconnu par Moscou en 1990 et étant l’œuvre de Staline en 2010 par Dimitri Medvedev président russe au vu du travail de commissions internationales, polonaise, allemande et américaine.
Après le pacte germano-soviétique d'août 1939, Staline met en œuvre l'élimination systématique des élites polonaises. Non seulement il fait assassiner plus de 25 000 officiers polonais, mais sa police politique déporte au goulag près de 1 800 000 Polonais, dont plus d'un million y ont été exterminés. Si ça, ce n’est pas un génocide communiste !
Nous possédons toutes les preuves de la collaboration entre l'Allemagne nazie et communistes de l'Union soviétique stalinienne, des crimes ordonnés par Staline à l'encontre de la Pologne.
Les protocoles secrets du pacte germano-soviétique signés à Moscou par Molotov et Ribbentrop le 23 août 1939 scellent la suppression de l'Etat polonais. Ces protocoles sont suivis de plusieurs accords organisant la collaboration germano-soviétique.
Après l'attaque hitlérienne de la Pologne, le 1 er septembre 1939, Staline attend le 17 septembre pour porter ses coups contre la partie orientale de la Pologne ou ma mère Helene est faite prisonnière et déportée en Goulag avec toute sa famille. Dès le 28 septembre 1939, un nouvel accord sur l'amitié germano-soviétique est signé, scellant le partage de la Pologne et mettant fin à toute notion de souveraineté nationale de cet Etat. Chaque parti écrasera sur son propre territoire tout embryon d’agitation. Les points communs entre les deux systèmes socialistes c’est le massacre des élites polonaises. Les Allemands mettent en avant des critères raciaux et les Soviétiques des critères de classes (Le communisme est basé sur la lutte des classes) mais les deux régimes se retrouvent pour exterminer les prêtres catholiques en Pologne.
Staline a accusé les démocraties occidentales d'avoir mis le feu aux poudres parce qu'elles refusent de reconnaître la main mise sur la Pologne. Protégé par Staline à l'Est, Les hitlériens peuvent désormais se jeter sur les démocraties occidentales.
Staline et Hitler portent la responsabilité de tout le sang qui sera versé. Hitler n'aurait jamais osé attaquer la Pologne sans le soutien de Staline, De même agresser les démocraties occidentales sans l'incitation de Staline".
Les crimes ordonnés par Staline en Pologne sont nombreux, mais deux semblent particulièrement significatifs : Katyn et la bataille de Varsovie.
Un texte éloquent de Maria Czapska, au sujet des récits des prisonniers polonais du goulag : "Ceux dans les camps, entre la vie et la mort, répétaient, désespérés et pleins d'espérance, à ceux qui étaient libérés : "Dites à l'Occident … Dites toute la vérité sur ce que nous étions et sur ce qu'ils ont fait de nous !" Et les partants juraient de dire toute la vérité, sans rien cacher, la vérité sur l'abaissement de l'homme. Cependant en occident, personne n'en voulait, de cette vérité, personne ne voulait l'écouter, personne n'en était curieux, et les témoignages ne trouvaient pas preneurs, la Russie était devenue l’allié.
Il existe à Cracovie un mémorial pour les victimes de Katyn.
"La vérité finit toujours par triompher du mensonge, même si pendant longtemps la mémoire paraît impuissante». Pierre Verluise.
Je recommande le livre "Staline assassine la Pologne 1939 - 1947" d’Alexandra Viatteau particulièrement aux étudiants et aux professeurs d'histoire.
L'Algérie était francaise
J'y suis né, le territoire était composé de 3 grandes provinces d'Alger, d'Oran, de Constantine
LES FRANÇAIS D’ALGÉRIE
En juillet 1962, la grande majorité des Français métropolitains ont abandonné sans remords à la mort ou à l’exil leurs compatriotes qui ont eu le tort de naître en Algérie. (vote en France) Comment en sont-ils arrivés à ce degré d’indifférence, à cette méchanceté, à cette dureté de cœur ? C’est la propagande qui a fabriqué ce racisme
De Gaulle en 1962 : « Qu’est-ce que tous ces Lopez, ces Prieto, et autres Ségura qui se voudraient Français ? » - « Les Harkis, ce magma dont il faut se débarrasser sans attendre ». Il fallait présenter ces Français d’Algérie sous un jour tel qu’ils apparaissaient haïssables et, par conséquent indignes d’être défendus.
Jacques SOUSTELLE (homme de gauche gouverneur de l’Algérie française) a écrit dans l’Express, le Monde, le Figaro que les Français d’Algérie avaient toujours tort que si le FLN massacrait femmes et enfants français ? C’était la conséquence d’un état de choses dont les Français d’Algérie étaient eux-mêmes responsables et que si les Français d’Algérie se défendaient c’étaient des criminels. Ainsi on concentrait la haine aveugle du public sur le petit artisan de Bab-el-Oued qui vivotait à 20% au-dessous du niveau de vie de son homologue français de métropole. Pour arriver à l’abandon avec bonne conscience on est descendu jusqu’au racisme. Ça faisait chuchoter les Français « Est-ce que ce sont vraiment des Français ? Ne s’agit-il pas plutôt d’un ramassis d’Italiens, d’Espagnols, de Maltais …» De même qu’il fallait dépeindre les Français d’Algérie comme une meute fasciste d’exploiteurs sans scrupules et de réactionnaires attardés, il fallait que les Métropolitains, en particulier les hommes politiques, qui combattaient pour le maintien de l’Algérie dans la République, fussent disqualifiés par une campagne de calomnies allant jusqu’à l’assassinat moral. La presse d’extrême gauche s’est chargée de cette opération, reprise avec une ampleur écrasante par l’état français et par tous les moyens de propagande qui dépendaient de lui en 1960. Du moment où l’on défendait l’Algérie Française, on était un « fasciste », un « activiste d’extrême droite » un « néo-nazi ». Dur pour mes parents qui ont été enfermés dans les camps nazis. La propagande traitait hitlérien GODARD qui se battit au Vercors, BIDAULT qui présida le CNR sous l’occupation nazie, SAINT-MARC qui souffrit à BUCHENWALD et exaltait les « DÉMOCRATES » mais que les terroriste musulmans et communistes Algériens ben bella et les autres étaient des modérés tandis que JOUHAUD méritait d’être condamné à mort la télévision se permettait d’insulter SALAN.
De tous les événements liés à la guerre d’Algérie, aucun n’a subi une occultation aussi complète que le massacre subi à Oran, le 5 juillet 1962 accepté par De Gaulle soit quelques mois après les accords d’Évian, par une partie de la population européenne de la ville. C’est pourtant celui dont le bilan est, de très loin, le plus lourd : en quelques heures, près de 700 personnes ont été tuées ou ont disparu sans laisser de traces.
Au présent : Arnaud Montebourg candidat à l’élection présidentielle de 2017 s’est rendu en Algérie, avec, comme carte de visite, celui qui fut ce drôle de Guy Bedos devenu un pitoyable vieillard. Tout ça pour aller chercher les votes des musulmans de France. Arnaud Montebourg est fier, dit-il, de son origine maghrébine par sa mère et de rappeler que son grand-père maternel a combattu la France dans les rangs du FLN (vouloir être président du pays que ses ancêtres ont combattu) si cela est vrai ! son grand-père a peut-être, tué ou fait tuer des Français d’Algérie mais également de jeunes soldats métropolitains, vos enfants, mères de France. Ce qui est loin d’être une référence recommandable. Puisque Montebourg n’hésite pas à mettre en avant le parcours FLN de son grand-père maternel. Il est nécessaire, à mon avis, de compléter son pédigrée car, et Arnaud Montebourg évite soigneusement de le signaler, « sa famille algérienne » faisait partie de celles que l’on appelait « les grandes tentes », ces riches propriétaires terriens qui exploitaient des milliers de « fellahs » dans l’unique but de s’enrichir. Mais il devrait également se montrer particulièrement fier du parcours d’un autre de ses ancêtres, Ahmed Ould Cadi, agha de Frendlah, qui, durant plus de 40 ans, avait combattu aux côtés de l’armée française, fait chevalier de la Légion d’Honneur en 1842, puis officier en 1852, commandeur en 1860 et, enfin, Grand Officier en 1867. Il fut, à la tête de ses « harkis », le « Bachagha Boualem » du 19e siècle, et ce sera là son plus beau titre de gloire. C’est cet aïeul, qui a offert à la France des milliers d’hectares de terres cultivables, sur lesquels fut construite la ville de Lourmel, afin de la remercier de l’action des médecins français qui avait permis l’éradication de plusieurs épidémies, coutumières dans cette vaste région qui ne se nommait pas encore « Algérie ». Car c’était cela la « colonisation », Arnaud Montebourg, faire d’une région inhospitalière l’un des plus beaux pays du pourtour méditerranéen, et c’est de cet « ancêtre » que vous devriez vous montrer le plus fier auprès des Français et non pas de celui qui fut un ennemi de votre pays dont vous voulez être président, Mais vous ne le serez jamais président car vous etes trop « pédant »
Définition de pédant : Celui qui avec de médiocres lumières et peu de savoir-vivre, prend un air de suffisance, et fait un usage mal entendu de sa doctrine.
"Si on rasait ces quelques réalisations de la France coloniale à Alger que resterait il"
1830 présence de 8000 habitations et immeubles
1830 présence de 103 mosquées
1830 Présence d’une dizaine de Synagogues
1830 Sept grandes casernes des Janissaires
1830 150 fontaines et 60 cafés maures
1830 Première Mairie rue Socgemah au N°9 (Hôtel Bacri)
1830 Premier Maire : Ahmed Bouderbah avec M Brugière comme commissaire du roi
1830 Premier Théâtre rue des consuls
1831 Liaisons maritimes entre Toulon et Alger par des bateaux militaires
1831 Arrivée à Alger de Charles Branthome qui sera le 1er Maire d’Alger
1832 Jardin d’Essai (580 ha) directeur A, Hardy
1832 La Cie Maritime Bazin effectue en Mai un premier voyage sur Alger
1833 Jardin Marengo
1833 27/XI Arrêté ministériel ordonne le classement dans la grande voirie des rues de la Marine, Bab-el-Oued et Bab-Azoun plus rue de Chartres et des Consuls
1835 Commune de Mustapha séparée d’Alger, Maire : le baron de la Vollée
1835 Embryon d’une bibliothèque Nationale Impasse du soleil quartier de la Marine
1835 Création de l’ancien collège (36 élèves) rue des 3 couleurs et Jénina
1837 Hôtel de la tour du Pin deviendra Hôtel de la Régence 1ère maison européenne de la place du Gouvernement
1837 Place Bresson/Briand plantation de muriers
1837 Projet de créer une nouvelle place : Place de Chartres pour y installer un Marché
1837 Construction de la façade de la Grande Mosquée
1837 Théâtre transféré rue de l’indépendance
1838 Berbrugger fonde la Bibliothèque Nationale d’ALGER siège ancienne caserne des Janissaires
1838 Berbrugger fonde le Musée d’Alger
1838 construction de l’immeuble « le café d’Apollon » Pl du Gouvernement
1838 31/10 le nom d’Algérie apparait pour la première fois, adopté par Antoine Schneider ministre de la Guerre en 1939
1838 ancien collège transféré rue Bab Azoun
1838 Aux quatre nations Manufacture de vêtement 5 rue Bab-el-Oued
1838 Rétablissement du Diocèse d’Alger le 25 août par le roi Louis Philippe et le pape Grégoire XVI
1839 Mairie transférée rue Porte Neuve au N°120
1839 Place de Chartres (marché couvert) Percement rue Randon et destruction de synagogues
1839 39 arcades construites sur 800m rue Bab Azoun
1841 Maritime : Cie Bazin service tri mensuel le « Pharamond » et le « Tage » vapeur à aubes (48 heures)
1841 Place du Gouvernement (démolition de 420 vieilles maisons)
1841 Plantation d’orangers place du gouvernement
1842 Maritime : service quotidien et régulier : Cie Gle de Navigation à Vapeur
1842 Apparition du télégraphe
1844 Rue de l’Aqueduc devient rue d’Isly
1844 peu d’immeubles rue d’Isly
1844 Plantation de bellombras place du gouvernement
1845 Schéma général de voirie et d’alignement
1845 28/10 inauguration de la statue du duc d’Orléans œuvre de bronze de Marchetti (8 tonnes, 5 m)
1845 1846 La première Poste rue Jean Bart
1845 1860 Cathédrale Saint Philippe sur ancienne Mosquée, place Malakoff
1847 1865 première église St Augustin (angle rue Waisse et Constantine)
1847 Maritime : Cie Touache devenue « Mixte » en 48, vapeurs à hélices
1848 Bibliothèque Nationale déplacée angle rue des Lotophages et rue Bélisaire
1848 Commune de Mustapha rattaché à Alger
1848 Ancien Collège transformé en Lycée
1848 12 novembre devient territoire Français (3 départements)
1848 Première vague de peuplement (émigrants de Métropole)
1848 Plantation d’un peuplier au centre de la place du gouvernement
1850 Mairie transférée rue du Vieux Palais
1850 Théâtre transféré rue du Soudan (agrandi et embelli)
1850 Grand Séminaire à Kouba
1851 Maritime : arrivée de la Cie de Navigation Marocaine
1851 Grands immeubles en haut tournants Rovigo
1851 Création de la Banque de l’Algérie le 4/08 ; le 1/11 en activité 5 Bd de la République
1852 Arrivée des 500 condamnés politique (coup d’état de 1851) dirigés sur Birkadem
1852 Statue de Bugeaud déplacée en 1927 pour faciliter la circulation
1852 20/05 projet de banques du Crédit Foncier et agricole de l’ Algérie 8 Bd de la République
1852 22/09 Institution d’une Caisse d’Epargne et de Prévoyance Alger
1852 Premiers becs de gaz pour l’éclairage des rues. (1868 pour Blida)
1852 Prison Barberousse
1853 29/09 inauguration de l’Opéra constructeur Sarun (incendie en 1873 reconstruite à l’identique)
1853 Aqueduc du Télemly
1853 Plantation de platanes place du gouvernement
1854 Nouvelles installation Hôpital Mustapha
1855/1865 Synagogue (avec harmonium) place Randon dite du Grand Rabbin Bloch inaugurée le 19/sept/1865
1855/1860 Grand Séminaire de Kouba
1856 Maritime : Arrivée de la Cie de Navigation Mixte (CMN)
1857 Rampe reliant les quais à la ville
1857 ancien collège transféré partie nord du square Bresson
1858 1872 Notre Dame d’Afrique
1860 La Poste Rue Bab-Azoun
1860 Première pierre du Bd de la République (Bd de l’Impératrice Eugénie)
1860/1866 Construction des voutes supportant le Bd Carnot et de la République (350 magasins et logements)
1860 Petit Séminaire de Saint Eugène
1861 Maritime : Arrivée de la Cie Gle Transatlantique (Transat ou CGT)
1861 Ets Louis Billiard, machines agricoles, Bd Baudin
1862 Bibliothèque Nationale déplacée dans l’ancien Palais de Mustapha Pacha (derrière la cathédrale)
1862 Blason : nouvelles armes d’Alger
1862 Instauration d’un marché aux bestiaux à Maison Carré
1862 Début construction du nouveau lycée (Lycée Bugeaud)
1862 Il ne reste plus que 47 mosquées
1863 Création de l’école normale (montée Mustapha) transféré à Bouzaréah
1864 1869 Deux formes de radoub
1864 1878 Quartier Liberté Mairie rue de la Liberté
1865/1890 Nombreuses villas à Mustapha et à El-Biar
1865 Maritime : Arrivée de la Sté Gle des Transport Maritime (SGTM) 1865 Ecole normale d’Instituteurs à Mustaphe supérieur
1865 La gare et les voies ferrées
1868 CFA Alger-Blida
1868 Nouveau lycée Bugeaud en activité (au delà de la rue Bab-el-Oued)
1868 Horlogerie Jules Lachaud, successeur Brachet, N°2 rue d’Isly
1869 Bibliothèque Nationale : nouvel administrateur Oscar Mac Carthy
1870 Eglise Saint Bonaventure à Mustapha
1870 construction du Bd Amiral Pierre qui longe la mer
1871 Commune de Mustapha de nouveau autonome décret du 26 janvier
1871 1874 Commune de Mustapha séparée d’Alger, Premier Maire : Barberet
1874 Nommé Maire : Adolphe Blasselle
1876 Le Palais de Justice 10 rue de Constantine
1876/1878 Eglise Saint Augustin au 10 de Constantine
1878 Inauguration du Cercle Militaire Place Bresson
1878 Grande Synagogue édifiée rue Scipion
1880 Pavillon de l’exposition des Beaux Arts
1880 Léon Rénier fonde l’école qui deviendra Faculté des Lettres
1880/1881 Ecole Nationale des Beaux Arts d’Alger, quartier de la Marine, déplacée en1954
1881 Nommé Maire : Guillemin
1883 Mairie transférée Bd de la République (jusqu’en 1935)
1883 Réouverture de l’Opéra suite incendie
1885 Inauguration du Palais de Justice rue de Constantine
1887 30 mars Monument classé : Porte de l’Arsenal
1887 Inauguration de la statue du Gal Margueritte à Kouba
1888 Transfert à La Bouzaréah de l’Ecole Normale d’Instituteur de Mustapha supérieur
1889 Orphelinat pour jeunes filles (deviendra Hôtel St Georges en 1927)
1889 1893 Palais consulaire
1889 Palais des Assemblées
1889 Siège de la Banque de l’Algérie
1890 Plantation de ficus place du gouvernement
1890 Huilerie St Georges Avenue des Muriers à Mustapha
1891/1892 Bâtiment du XIX ° corps d’armée place Bugeaud
1891 Bibliothèque Nationale Nouvel Administrateur : Emile Maupas
1892 Premier réseau de tramway TA
1893 Démolition des remparts de l’ancienne ville turque (bd La Ferrière)
1894 Bâtiment de l’Institut Pasteur
1894 1896 Construction de l’église Saint Charles
1895/1892 Allongement de la jetée Est (100m) ouverture d’une passe
1897 Installation du Musée des Antiquités Musée Stéphane Gsell (agrandi en 1903)
1898 Lotissement » Bernard »
1899 rue d’Isly bordée de terrains vagues 1899 Elargissement de la jetée Nord
1900/1910 66 rues nouvelles furent crées
1900/1914 Les Galeries de France au 23 rue d’Isly
1900 Ecole de Commerce
1900 Ecole normale d’Instituteurs à Bouzaréah
1901 Démolition de la Porte d’Isly
1901 Immeuble Duret coin place Bugeaud et Généraux Morris(frise en terre cuite du sculpteur Fourquet) 1901 Construction de grands immeubles de 5 étages rue d’Isly
1901 Immeuble rue d’Isly autour d’une galerie couverte divisé en 4 immeubles
1903 Hôtel-Restaurant « Excelsior »
1903 Construction du bâtiment de « la ligue » (qui deviendra le lycée Delacroix en 1908)
1904 Agrandissement du port vers le sud jetée 300m, mole 200m 1904 Hôtel Excelsior
1904 Commune de Mustapha réunie définitivement à la ville d’Alger décret du 4 avril 1904 1904/1905 La Medersa – la Thaâlibiyya (rue Marengo)
1904 Grand magasin des deux Magots rue Bab-Azoun
1905 Institut d’Etudes Agricoles
1905 17 février Monument classé : Porte du Penon
1905 Rampe Chassériau
1905 L’Algérie est entièrement traversée par le réseau ferrée
1905/1907 Immeuble à l’angle des rues du Languedoc et Drouillet (fresque du peintre Antoni)
1905/1907 Immeuble à l’angle des rues Horace Vernet et Elie de Beaumont
1906 Hôtel de la Place pour le Génie Militaire
1906 La dépêche Algérienne Bd Laférierre
1906 1912 Nouvelle Préfecture Bd Carnot 1906 Immeuble rue Jean Macé
1906 1925 Nombreux immeubles (quartier Michelet jusqu’à Bd Victor Hugo et Télemly)
1907 Villa Abd-el-Tif
1908 Rampe Poirel
1908 Lycée Delacroix
1908 Le Port Rétrécissement à 175m de la passe allongement de 50m jetée sud
1909 Halles Centrales pour la ville d’Alger
1909 construction de la nouvelle église Anglicane à Mustapha sup,
1888/1909 Création de l’Université d’Alger 2 rue Michelet (deuxième de France)
1909 Ouverture de la Route Moutonnière, elle devient la RN 5
1909 Jardin botanique en patio de la fac
1910 Nommé Maire : Charles de Galland
1910 /1911 Palais des Délégations financières plus tard Assemblée Algérienne Bd Carnot
1910 /1919 Villa « Dar Beïda » à El-Biar pour M. Luciani
1910 /1919 Villa « Les Amandiers » au Bd Bru à M. Joseph Warot
1910 Institut Pasteur (Face Jardin d’Essai) (avec annexe à Kouba œuvre de Léon Claro)
1910 Naufrage du Général Chanzy aux Baléares (12 février)
1910 construction du Casino au N°9 de la rue d’Isly 1911 Aéro-Club au 23 Bd Carnot
1912 Fin des travaux sur le port
1912 Escalier passerelle d’accès du bd Carnot au vieux port
1912 Construction du théâtre de l’Alhambra rue d’Isly ; incendie en 1935
1913 Hôtel des Postes « La Grande Poste »
1914 Brasserie de l’Alhambra
1914 Galeries de France rue d’Isly
1914/1918 Hôpital du Dey devient Maillot
1914 Au Bon Marché (place Bugeaud)
1916 Bibliothèque Nationale : nouvel Administrateur Gabriel Esquier
1916 Sté des Allumettes Caussemille, Roche et Cie (Atelier) rue Caussemille
1916/1919 Palais d’été Résidence du Gouverneur Général
1920/1930 Quartier de l’Oriental (Debussy) et quartier Lafférière sud (ossature béton)
1920/1930 Quartier de l’Oriental (Debussy) et quartier Lafférière sud (ossature métallique)
1921 Aéroport de Maison Blanche (1ère tranche)
1921/ 29 septembre Monument classé : Villa Abd-el-Tif
1922/1935 Jardin d’Essai : Sculpture « La France » Devant le Musée des Beaux-Arts, face à la Méditerranée. Statue dans le musée de l’école de Saint-Cyr (Coëtquidan), bronze érigé initialement en 1935 à Alger La France Réalisée par Antoine Bourdelle en 1925. Elle devait être érigée pour commémorer l’entrée en guerre des Etats- Unis en 1917. Finalement la statue fut dressée à Alger en 1935. Dynamitée par l’O.A.S. en 1961, rapportée en 1962 et restaurée aux frais de la famille Bourdelle, elle a été offerte aux écoles en 1967.
1922 Création d’une direction des Antiquités
1923 Eglise de Kouba (construction du Dôme)
1923 Fabrique de pianos, 12 rue Dumont-d’Urville pour M. Colin Paul
1923 Nombreux immeubles de la rue Michelet
1923/1924 Villla « Torrès » à Mustapha (Entreprise Bernard frères et Cie)
1924 Groupe Scolaire Chemin Yusuf pour garçons
1924 Stade Lapergue à Saint Eugène (Entreprise Bernard)
1924 Immeuble d’habitation et Commercial rue Berthezène pour M. Bonduelle
1924 Groupe Scolaire rue Barnave pour les filles
1925 Dock frigorifique (entreprise Louis Grasset)
1925 Atelier et remise pour la Cie des Chemins de fer PLM (Entreprise Bernard frères)
1925 Parc De Galland
1925 Nombreux immeubles du Télemly
1925/1927 Immeuble (transformation d’un moulin) pour MM Grima Frères
1925 Nombreux immeubles du boulevard Victor Hugo
1925/1929 Construction de la Gare Maritime (mole El-Djefna)
1926/1928 Usine pour M Cardinal Maurice industriel à Hussein Dey (entreprise Ritter et Scotto)
1926 Hôtel Saint Georges,
1926 Caserne d’Orléans, Stand de tir de 50m1927 Réservoir pour la ville d’ALGER (10000M3)
1927 Immeuble Lafont Bd Saint Saens (avec entreprise Hennebique)
1927 Immeuble d’habitation « Bon Accueil » Bd Sain Saens (entreprise Louis Grasset)
1927 Lotissement « Guiauchain-Vinson »
1927 Bâtiment d’Activité pour MM Thibaut et Cie (courtier en vins)
1927 26 avril Monument classé : Villa Mahieddine
1927 13 XI 1927 – Monument aux morts « Le Pavois » sculpteurs : Paul Landowski et Charles Bigonet
1927/1932 Minoterie Narbonne à Hussein-Dey (entreprise Louis Grasset)
1927/1941 Immeuble pour « la construction moderne » rue Serpaggi et 13 rue Jean-Macé
1927/1930 le garage Vinson 136-140 rue Sadi Carnot (avec entreprise Hennebique)
1928/1929 Immeuble Garcia rue de Constantine (avec entreprise Hennebique)
1928 Lotissement » Trottier »
1928 Externat Notre Dame d’Afrique (chapelle)Bd Sait Saens (surélévation en 1947)
1928 Immeuble d’ habitation rue Borely-la-Sapie à Mrs Amoros et Gaba (entreprise Louis Mathoux)
1929/1931 Ecole de garçons Charles Lutaud (Surélévation en 1949/51)
1929/1931 Ecole de garçons du Champ de Manœuvres
1929/1932 La Maison de l’Agriculture
1929/1934 Le Palais du Gouvernement GG
1929/1930 Musée National des Beaux Arts (à coté de la villa Abd-el-Tif)
1929 Fabrique de meubles pour M Mazella, 6 Av Malakoff et rue Thuilliert (entreprise Spaini)
1929 Immeuble de rapport au Groupe Baudin, bd Baudin,passage St Frères et Kaouki et rue Charras
1929 Immeuble d’habitation pour la Cie Urbaine et Foncière , rue Michelet
1929 Travaux dans l’Université (Entreprise Louis Grasset)
1929 Conservatoire de musique Bd Laferrière et rue Berthézène
1929 Musée des Antiquités et d’Art musulman (Stephane Gsell) au parc De Galland
1929 Abattoir d’Alger au Ruisseau
1929/1931 Magasin des chaussures « Raoul »10 rue d’Isly
1930 Usine à gaz, Quartier du Hamma (entreprise Lebon)
1930/1934 Bureaux du Gouvernement Général (12 étages, 600 bureaux)
1930 Casino-Hôtel Aletti (Jacques, Louis, Robert Aletti )
1930 Musée du Bardo inauguration
1930 Hôtel rue de Tanger , Bd Bugeaud , et rue Généraux Morris
1930 24 novembre Monument classé : Citadelle du fort l’Empereur
1930 Premier plan d’ensemble
1930 Immeuble d’habitation au 10 rue Berthezène
1930 Inauguration du Casino-Hôtel Aletti à Jacques, Robert et Louis Aletti
1930 Piscines du Stade Municipal
1930 Entrée du Stade Municipal
1930 Centenaire de la puissance coloniale
1930 La cité Sainte Corinne
1930 HLM du Ruisseau
1930 La cité du Clos Salembier
1930 17/08 Extension de la ville vers Le Hamma (plan d’aménagement)
1931 Immeuble d’habitation Bd de Champagne pour MM Gay et Canaccini
1931 Lotissement « Badjarah »
1931 Immeuble d’habitation pour la Construction Moderne rues Edith Cavell et Montalembert
1931 Immeuble de rapport pour MM Lavernhe et Sabadini rue Clauzel
1931/ 1933 Hôtel d’Angleterre Angle Bd Bugeaud et rue Généraux-Morris
1931/ 1933 Eglise Ste Anne près du lycée Fromentin à La Redoute
1932 Immeuble d’habitation bd Edgard-Quinet pour M Duheur
1932 Immeuble d’habitation (MM Petit,Thiedey et Delorme)
1932 Immeuble d’habitation Av Malakoff pour M Trape
1932 1933 Immeuble d’habitation Bd Saint Simon et Sainte Beuve
1933 Lotissement « Tramoy de l’Aubeypie »
1933 Lotissement « Fash Ouchaia »
1933 Lotissement « Michel »
1933/1952 Le Yacht Club (modifié en 1952) Entreprise Perret
1933 1939 Pavillon des Tuberculeux à Hopital Mustapha
1934/ 1937 Reconstruction du Marché Clauzel rue Clauzel
1934/ 1937 Esplanade du Maréchal Foch (Forum) (Entreprise Perret)
1934 Lotissement « Navarre »
1934 Lotissement « Bois-Ramel »
1934 Construction de la capitainerie du port
1934/ 1951 Hôtel de ville Nouvelle Mairie (9 étages 7 ascenseurs, façade 91 m ) sur le Bd Carnot
1935 Maison des Étudiants
1935 Lotissement « Nouvel-Ambert »
1935 Lotissement « Mermet-Davaux »
1935 /1936 Foyer Civique ; Quartier du Champ de manœuvre entièrement construit en 15 ans.. Bas reliefs de Georges Béguet et Paul Belmond
1935 Boulevard Laferrière
1935 1941 L’esplanade du Maréchal Foch (Le Forum)
1935 Salle Bordes en activité
1936 Lotissement « Juanèda »
1936 Lotissement « Cret Ouchaia »
1936/ 1937 Dispensaire (Hopital Barbier-Hugo) Bd de Flandre, rue de Picardie (modifié en 46/48)
1937 Lotissement « Cité Musulmane »
1937 Pharmacie Degueurce-Léonardon rue Barnave
1938 Caserne française des Gardes Mobiles (qui deviendra le Ministère de la Défense
1939 Construction d’une halle aux poissons et d’un bâtiment à coté
1942 Maritime : Naufrage du « Lamoricière » lancé en 1912
1943 Lotissement « Maia »
1943 1944 La radio Alger (306m) passe de la rue Berthezène au 10 de la rue Hoche avec 3 studios
1944 Création du lycée Fromentin en place de l’Hôtel Le Splendid
1944 Centre d’accueil « Icosium » (institut Goethe)
1945 Tunnel des facultés Projet
1947 Création de l’EGA regroupe Lebon et Cie (siège rue Denfert Rochereau, face à l’Empire)
1947/ 1952 Villa Clairbois Docteur André Blondeau
1948 Gare Maritime avec l’Entreprise Perret
1948 Ouverture de l’av du 8 novembre (Palais consulaire vers amiral Pierre)
1948 Bibliothèque Nationale : dernier Administrateur Germaine Lebel
1948 Lotissement « Panorama »
1948 Percement du tunnel des facultés 118m x 18m
1948 Gare Maritime avec l’Entreprise Perret (Travaux au nouveau môle du bassin du vieux port)
1948 Utilisation des trolleybus VCR et VA
1949 Kiosque à musique Place Coquillat, rue Polignac et rue de Lyon
1949 Lotissement « Mon repos »
1949 Lotissement « Delbays »
1949 Lotissement « Djenan El Mabrouk »
1949 Agrandissement de la Capitainerie du port
1950 Calvaire de Kouba
1950 /1951 Ecole Hôtelière à Ben Aknoun commune d’El-Biar
1950/ 1951 Cité universitaire à Ben Aknoun commune d’El-Biar
1950 /1953 HLM Hélène Boucher
1950 2 Immeubles HLM au Champ de Manœuvres
1951 Lotissement « Jolie vue »
1951 Inauguration de la statue de Jeanne d’Arc sculpteur : Halbout du Tanney
1951/ 1952 Maison Tosi à Bouzaréah
1952 Musée Savorgnan de Brazza à Alger
1952 Immeuble-pont Burdeau construit dans un vallon
1952 grands immeubles au Champ de manœuvre
1952 EGA Immeuble bureaux au Télemly
1952/ 1956 Foyer Universitaire
1952/ 1953 Villa pour le Directeur de la Caisse des Marchés de l’Etat (Entreprise Humbert) Hauts-monts d’Hydra
1952 inauguration du passage souterrain sous la rue Michelet (boutiques de luxe)
1952 /1953 Maison Fernand Aboulker à El-Biar
1953 Nommé Maire : Jacques Chevalier
1953 1954 Diar-el-Mahçoul cité de la promesse (1550 logements sur 12ha en 365 jours)
1953 Inauguration du Bd Maréchal Lattre de Tassigny le 28 mars
1953 Lotissement « Pacé »
1953 18 Avril Inauguration du Marché Barnave (angle Barnave et Meissonier)
1953/ 1954 Maison Monnoyer à Hydra
1953/ 1955 Maison Daniel Aboulker à El-Biar, terrasse Saint Raphaël
1953/ 1954 Diar-es-Saada cité du bonheur 730 logements en novembre
1954 Hôtel du Trésor quartier la Marine
1954 Résidence du Petit Hydra, Immeuble Shell
1954 Ecole actuelle Nationale des Beaux Arts d’Alger dans les jardins du parc Gatliff
1954 Cité « Le Patrimoine Algérois » sur les hauteurs de Hussein-Dey à Kouba, Projet de Charles Lévy.
1954 /1956 Première exploitation du gisement de gaz d’ Hassi R’mel
1954 /1958 Bibliothèque Nationale des Tagarins (en face du Stade Leclerc)
1955/ 1957 Aéro-Habitat
1955 1956 Le Rectorat d’Alger
1955 1956 Cité « la montagne » à Maison-Carrée 2000 logements
1955 1957 Cité Climat de France 5000 logements sur 25 ha
1955 1957 Cité des Eucalyptus à Bab-el-Oued (700 logements)
1955 Cité Léon-Roches à Bab-el-Oued (1200 logements)
1955 Cité « la concorde » à Birmandreis 1064 logements
1955 Cité « Beauséjour » à Birmandreis
1955 Cité « Lavigerie » à Kouba
1955 Cité « les Asphodèles » à Ben Aknoun
1955 Cité « Mahiédine » avec groupe scolaire rue Fontaine-Bleue
1955 Cité « Perez » 94 logements à Bab-el-Oued
1955 Achèvement du programme de 650 logements au Champ de Manœuvre par l’Office Public
1955 Cité première Urgence à Maison Carrée
1955 1956 maison de la radio et TV au 21 Bd Bru
1956 1961 Le Sacré cœur
1956 Téléphérique à Diar el Mahçoul- Le Hamma en février
1956 1957 Première exploitation du gisement de Pétrole de Edjelé et de Hassi Messaoud
1956 1958 Cité de transit « Djenan-el-Hassan
1956 1957 Maison Bernou à El-Biar
1956 1962 Magasins du Bon Marché(rue d’Isly et Mogador)+ immeuble de bureaux au dessus de 7 étages
1956 25 décembre 1ère émission de TV
1957 1959 Institut d’Etude Nucléaire Bd De Lattre de Tassigny (1° tranche) 2° tranche en 1963,
1957 1959 Ensemble de logement « carrières Jaubert » Bab-el-Oued
1957 1962 Cité Henri Sellier à Hydra (800 logements)
1957 1958 Cité des Annassers (24000 logements) (partiellement réalisé)
1957 1958 Cité Diar Echems
1957 1959 Maison Kasdarly à El-Biar
1958 1959 Cité des Dunes
1958 1960 Deux immeubles des Ponts et Chaussées 3 étages route Moutonnière rue de Draguignan
1958 12 mai inauguration de la Nouvelle Bibliothèque Nationale
1958 Pose de grillage dans les trolleys et tramway
1959 Décret du 19 février constituant « Le grand Alger »
1959 Administrateur Général avec Conseil Municipal de 75 membres élus le 19 avril, installé le 30
1959 Omar Mohamed Bouarouba Président du Conseil Municipal
1959 1961 Maison Saur à Ben-Aknoun
1959 Cité »Les Jasmin » au Clos Salembier
1959 Premier timbre aux armoiries d’ALGER
1959 Logements économiques à Birmandreis (650 logements type « LOGECO » de 45,5m2 en moyenne
1959 1965 Résidence de l’Ambassadeur de France à Alger
1959 1960 Immeuble HLM rue Zaatcha
1960 Fin de l’exploitation des tramways
1960 Villa « Lehalle » au Paradou
1960 Premier tir à Régane
1960 1961 Pillage Grande Synagogue Bloch et adjonction d’un minaret pour la transformer en la mosquée Ibn- Fares. Après 1962 il n’existe plus aucune synagogue.
1961 Cité » Vinci » nouveaux immeubles
1961 Cité « la concorde » à Birmandreis
1961 Stèle d’Albert Camus à Tipaza (graveur Louis Benisti
Liste établie par :
Jean-Claude ROSSO